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mardi 21 mars 2023
mardi 27 septembre 2022
jeudi 31 mars 2022
mercredi 23 février 2022
mardi 1 février 2022
mardi 7 décembre 2021
Conseil Communal du 06/12/2021 Comines-Warneton
Communiqué de la tripartite Ensemble-Ecolo-MCI à la suite du Conseil communal de ce 6 décembre 2021.
mercredi 10 novembre 2021
jeudi 29 avril 2021
conseil communal avril 2021
Une vue d'ensemble de la mobilité à Comines-Warneton
Une étape importante a été franchie en mettant en place l’actualisation du Plan communal de mobilité. Elle permettra une vision d’ensemble.
Lors du conseil communal de lundi, il a été beaucoup de question de mobilité. La majorité en place depuis fin 2018 signale depuis de longs mois qu’elle souhaite mettre en place un Plan communal de mobilité (PCM) afin d’envisager la mobilité dans l’entité cominoise et alentours, tout en favorisant les déplacements dits «doux».
Les élus ont approuvé à l’unanimité le projet, le cahier spécial des charges, les métrés, plans et avis de marché dans le cadre du marché public de services relatif à la désignation d’un auteur de projet chargé de l’actualisation du Plan communal de mobilité et d’approuver une convention avec le SPW.
«Cela nous permettra d’avoir une vue d’ensemble de notre mobilité, notamment dans les raccords avec la Flandre et la France, a précisé Philippe Mouton. Nous sommes aussi, peut-être, la seule ville de Wallonie qui possède une frontière naturelle avec un autre pays et il faudra en tenir compte».
Un parc public à l’arrière de l’école
Un point stratégique de la mobilité concerne les abords de la gare de Comines. Deux règlements de police ont été approuvés à l’unanimité: la circulation exclusivement permise aux cyclistes et aux piétons au cheminement Saint-Joseph, qui mène au Collège de la Lys et la réalisation d’un passage pour piétons dans la rue des Combattants.
«Pour l’heure, nos paveurs dalleurs sont occupés à réaliser un arrêt pour les bus dans la rue d’Houthem; il y aura également des aménagements entre les rues des Combattants, de Ten-Brielen et du Triangle.»
Un parc public sera aménagé à Houthem, avec un cheminement cyclo-piéton permettant de joindre la rue de la Cortewilde et le RAVeL du canal. Pour ce faire, une convention d’occupation d’une parcelle appartenant à l’ASBL Institut Saint-Henri va être signée.
L’échevin Mouton, qui a été instituteur dans cette école durant près de quatre décennies, a expliqué la philosophie du projet qui permettrait, en passant entre l’école et ce qui était la cure, transformée en logements (gérés par Lysco), de traverser le parc derrière l’école.
«On a demandé récemment à nos équipes de rendre cela plus attrayant pour y développer, dans le cadre du PCDR., un cheminement plutôt piéton que cyclo-piéton partant de la rue de la Cortewilde, traversant le petit domaine pour arriver au RAVeL, au moyen d’une petite passerelle jetée au-dessus du fossé de dévoiement du canal. Cela permettrait d’avoir une promenade bouclée autour du centre-ville, avec des échappatoires vers le RAVeL. Il y aurait un espace public à disposition de la population.
C’est également une bonne chose pour l’école parce qu’elle va disposer d’un espace de récréation supplémentaire et permettre aux enfants de se déplacer en toute sécurité. Nous pensons aussi installer un pare-vue pour que la population ne puisse pas voir ce qui se passe dans la cour de récréation.»
Marie-France PHILIPPO - L'Avenir
La passerelle ferroviaire Houplines/Le Bizet est interdite à toute circulation; plus pour longtemps?
En matière de mobilité, l’échevin Philippe Mouton a également mentionné le projet des deux passerelles piétonnes par-dessus la Lys, à hauteur de Comines.
Autre info concernant la passerelle ferroviaire désaffectée entre Houplines et Le Bizet: «Suivant une lettre reçue du cabinet du ministre de la Mobilité, une étude a été demandée par le SPW concernant la faisabilité d’un cyclo-piéton passant sur la passerelle. Ce serait vraiment un rêve!» D’autant plus que, très prochainement, plusieurs chemins et routes du Bizet, en très mauvais état, vont être refaits, comme la rue de la Howarderie; ce qui permettrait de réaliser des boucles transfrontalières, en toute sécurité. |
La Ville prend en charge certains aménagements, comme l’entrée du Musée de la brasserie. Elle va désormais s’attaquer aux voiries, aux terrains, etc.
Budget modifié pour réaliser en interne des travaux d’entretien et de voirie. En 2022, le service technique entretiendra les terrains de foot!
Lundi, la séance du conseil s’est tenue durant près de trois heures, hors huis clos. Émaillée de quelques ennuis techniques, la visioconférence a débuté par une demi-heure de conseil de police, avec présentation des comptes 2020.
Quelque 25 points étaient au menu d’un conseil où les chiffres ont tenu la dragée haute, notamment lors de la présentation, par l’échevin Didier Soete, des modifications budgétaires n°1 de l’exercice 2021. «Ce point a été examiné en détail pour la commission communale des finances le 20 avril, dans une séance discutée durant plus de 3 heures», a mentionné le grand argentier.
Que retenir? Quelques postes ont été augmentés: entretien et le curage des cours d’eau (+ 100 000€); illuminations et sonorisation des centres-villes (+ 60 000€); curage, entretien et réparation des égouts (+ 70 000€); cimetières (+ 70 000€): «Cela fait suite à la campagne d’exhumation qui a eu lieu ces derniers mois; ce qui permet de libérer des caveaux «oubliés», qui seront occupés dans les années qui viennent.»
La Ville a décidé de faire des achats de matériel en vue de faire davantage de travaux elle-même: augmentation des travaux de voirie (+ 213 753€); achat de véhicules spéciaux (de 250 000€ à 370 000€) et achat de matériel et de deux épandeuses (150 000€ à 190 000€). «La Ville prendra en charge dès 2022 la maintenance des terrains de foot. D’année en année, on entend les clubs se plaindre des prestations réalisées par des entreprises privées! Ce matériel sera utilisé pour la gestion des 7 ha du parc de la Lys. Le service horticulture a été renforcé et de nouvelles compétences sont arrivées.»
Un soutien à l’école communale
Les trois implantations de l’école communale n’ont pas été oubliées: deux classes supplémentaires seront construites à Warneton: budget de 340 000€ au lieu de 250 000€. Dans le cadre du projet Ureba, les trois implantations bénéficieront d’une maintenance: 100 000€ (Warneton); 75 000€ (Comines) et 35 000€ (Houthem). Le parc informatique a été renforcé.
Autres frais budgétisés: la maintenance de l’hôtel de ville d’Houthem: de 35 000€ à 60 000€; de l’hôtel de ville de Warneton: de 31 537€ à 96 537€. «Il s’agit de la création d’armoires et de vitrines dans le hall d’entrée afin que la Société d’Histoire puisse y exposer des objets de valeur». Acquisition de mobilier urbain: de 100 000€ à 150 000€; aménagements cyclo-piétons rues des Combattants/Triangle: de 305 150€ à 445 000€.
Les travaux de rénovation de la MJC: de 3 876 000€ à 4 441 000€. «On ne pourra pas dire que Comines-Warneton ne soutient pas sa culture!». Hausse aussi pour la nouvelle salle des sports de Comines: de 6 000 000€ à 7 389 180€!
Les planches de revêtement du Quai Verboeckhoven, devenues dangereuses parce que glissantes et branlantes, vont être remplacées: 100 000€. La Ville participe à un système de vidéosurveillance mobile pour traquer ceux qui jettent des déchets: 40 000€, subsidiés à 60%.
- Marie-France PHILIPPO - L'Avenir
Les autorités communales ont pris la décision de se séparer de quatre biens en mauvais état. Justification de Didier Soete: «Ils sont inoccupés depuis des années et insalubres.
Leur valeur va donc baisser alors qu’un entretien est toujours nécessaire. L’argent sera réinjecté pour rénover des biens communaux.»
Les quatre biens seront vendus via biddit.be: «L’enchère de départ est volontairement basse pour attirer tant le public belge que français, tout en sachant que la Ville peut refuser la vente». Deux maisons (chaussée de Wervicq n° 298 – 30 000€ et chaussée de Warneton n° 163 – 25 000€) n’ont soulevé aucune discussion. Les deux autres possèdent un certain cachet: la cure de Bas-Warneton – 110 000€ et celle de la rue du Romarin n° 12 occupée autrefois par le directeur de l’école de Ploegsteert – 125 000€.
«Cette dernière fait partie d’un ensemble cimetière/école et l’on ne sait pas ce que nous réserve l’avenir, est intervenu Didier Vandeskelde. On va peut-être un jour regretter d’avoir vendu ces mètres carrés pour créer, par exemple, une garderie.»
Réponse d’Alice Leeuwerck: «La Ville possède beaucoup de biens à Ploegsteert et de gros travaux sont en perspective. Pour l’église, on parle déjà de plusieurs millions d’euros! La cure, qui accueillait l’extrascolaire, a été déclarée insalubre et sa rénovation va coûter plusieurs centaines de milliers d’euros. Et il reste encore l’arsenal et la salle des sports. À un moment donné, il faut faire un choix!»
André Gobeyn intervient: «Cette maison a en effet de la gueule et mérite d’être sauvée. Quand le directeur est parti, elle a été louée, dans des situations d’urgence. Tout est démoli. Soit on laisse pourrir soit on la vend en espérant que quelqu’un la sauve.»
M-F.Ph. - L'Avenir
mercredi 16 septembre 2020
Conseil communal sept 2020
La question du stationnement est apparue à deux reprises dans les débats. Des zones de «parking rapide», soit de 30 minutes, vont voir le jour à Comines (6 emplacements) et au Bizet (7 emplacements).
Cette décision a été prise avec les riverains et les commerçants et fait suite à plusieurs réunions citoyennes. Reste à attendre le retour de la Région wallonne, la budgétisation et la pose du matériel, ainsi qu’une communication adéquate. Une phase de test est prévue.
Vote quasi à l’unanimité puisque David Werquin s’est prononcé contre: «Quelle utilité?, s’est-il justifié. Comment contrôler le respect des 30 minutes?» «Nous comptons sur le civisme», a répondu Didier Soete.
Au Bizet, la «zone bleue», instaurée en mars 2015, a été revue pour satisfaire les riverains et la logique commerçante. La place du Marché sera totalement en zone bleue, qui sera supprimée dans la rue des Trois-Évêchés, dans la rue d’Armentières (depuis la rue des Trois-Évêchés jusqu’au numéro 327), dans la rue du Touquet (entre les n° 40 et 59) et dans le sentier de la Planche (entre les n° 2 et 17). L’application concrète est prévue pour le printemps 2021.
À l’initiative des zones bleues, Didier Vandeskelde a accueilli favorablement les modifications: «Au départ, la rue des Trois-Évêchés ne devait pas être dans la zone bleue parce qu’elle ne comporte pas de magasins. C’est Gilbert Deleu qui m’avait demandé de l’inclure pour me protéger», explique celui qui habite dans ladite rue.
Approbation à l’unanimité, sauf David Werquin, qui a voté contre.
Philippe Mouton a aussi indiqué que le personnel communal allait enlever des broussailles sur le parking libre à l’arrière du café «L’Australien» afin de gagner une dizaine de places.
M-F.Ph. - L'Avenir
mercredi 4 mars 2020
Conseil communal mars 2020
L’entité compte des vitrines vides au centre-ville. La majorité veut dynamiser le commerce urbain et les cœurs de village.
Lundi soir, en 1 h 45, hors huis clos, le conseil communal était plié. Seuls 16 points étaient au menu, avec aucun sujet qui fâche à l’horizon.
Les élus ont approuvé, à l’unanimité, la modification de la prime communale à l’installation d’un nouveau commerce de détail, d’un établissement Horeca ou d’une activité de service. L’objectif: donner de l’attractivité aux centres-villes.
«Dans une optique de lasagne»
David Kyrakidis, le principal instigateur, a parcouru les 11 pages qui réglementent la modification. Il a commencé par remercier les deux employées de l’Agence de Développement Local, qui ont réalisé les études préalables: «Pour 2020, le budget a été porté à 24 000€. Nous avons exclu les commerces de tabac et de substances chimiques, tout comme ceux qui ont trait à la prostitution.
Les primes ont été réfléchies dans une «optique de lasagne». Avec une prime de base de 500€ et la définition de cinq critères: centres urbains, cellule commerciale, accessibilité, durabilité et digitalisation/modernisation.»
Chacun de ces critères correspond à 500€ et la prime maximale atteint 3 000€. Auparavant, elle était de 2 000€. Si l’un des critères n’était pas rempli, le commerçant n’avait rien. Seules trois personnes l’avaient obtenue.
La prime est aussi étendue aux centres urbains, alors qu’auparavant, elle ne concernait que Comines et Le Bizet. «Nous tentons d’augmenter l’attractivité des centres, mais sans exclure les cœurs de village», a commenté Alice Leeuwerck, en signalant qu’un distributeur de pains allait être installé au centre d’Houthem.
Pour pallier la fermeture du pont-frontière
L’échevin Philippe Mouton a évoqué quelques mesures prises pour soutenir le commerce lors de la fermeture du pont-frontière, de mai à juillet. «Avec l’ADL, l’Office du tourisme et le Sidec, nous tentons d’attirer les clients sur Comines. Une première décision nous a menés à créer six balades guidées dans le centre-ville, étalées sur les trois mois. L’objectif est de montrer nos richesses et d’inciter les participants à pousser les portes des commerces.»
Le zoning se concrétise
Les élus ont approuvé à l’unanimité, sauf abstention de José Ryckebosch, la modification d’un tronçon de 70 m du chemin du Petit Bois, à Warneton, dans le cadre de la création d’un carrefour giratoire, porte d’entrée de la zone d’activités des Quatre-Rois.
Philippe Mouton a rappelé son combat durant des années afin de diminuer la surface de la zone d’activités: «Elle est passée de 150 ha à environ 35 ha. J’espère que les aménagements seront les plus environnementaux possibles, notamment en ce qui concerne le bassin d’orage».
«Je suis heureux que le projet ait été réduit, commente José Ryckebosch. Par contre, ce qui m’énerve, c’est que l’on gaspille des terres agricoles pour des zones vertes à l’intérieur des zonings! J’espère que les sommes qui seront versées aux agriculteurs seront décentes et qu’elles leur permettront d’accéder à d’autres terres.»
Le débat a ensuite dévié sur un zoning propre et il a été convenu d’établir une charte des zonings.
Marie-France PHILIPPO - L'Avenir
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mercredi 22 janvier 2020
Conseil communal janvier 2020
L’affluence de l’avenue des Châteaux s’intensifie: magasins, écoles, cabinets médicaux, etc. Il est temps de tendre vers une mobilité douce!
Il a été question de voiries lors du premier conseil communal de l’année. De chemins, mais aussi de revêtements hydrocarbonés et d’aménagements.
Lundi, la séance a duré 2 h 30, dans une ambiance constructive, bien que quelques salves acerbes aient été envoyées. La séance s’est enrichie de trois présentations. Justine Castelain et Stéphanie Dufour, de l’accueil extrascolaire, ont passé en revue le programme de coordination locale à l’enfance. Adopté à l’unanimité.
Matthieu Wulsteke, directeur administratif, a présenté les modifications au Plan d’investissement communal (PIC) 2019-2021. Le 5 décembre 2019, ce dernier a été partiellement approuvé par le SPW, avec demande de rectification. Ce qui est accepté par la Région wallonne est subsidié à 60%.
La rénovation d’une partie des accotements de l’avenue des Châteaux, pour un devis de 357 007€, a été approuvée, mais avec remarques en vue d’une analyse du réseau d’égouttage par Ipalle; celle-ci a déjà donné une réponse positive. Le SPW a aussi signalé que cet axe devait être considéré dans son ensemble.
La majorité a pris la balle au bond pour étudier un microplan de mobilité. «On y trouve trois écoles, des magasins, des usines et une population dense, a précisé la bourgmestre. La mobilité douce doit y être favorisée et des zones vertes aménagées.»
Le 19 septembre 2019, une réunion de lancement s’est tenue afin de réfléchir aux possibilités. «Il faut développer les connexions entre le quartier de la gare et l’avenue des Châteaux, a poursuivi Philippe Mouton. On peut même rêver d’une passerelle qui enjambe le chemin de fer à hauteur du collège Saint-Henri. Nous avons profité d’une réunion avec des représentants d’Infrabel pour leur en glisser un mot.»
Le dépôt communal rasé
Le dépôt communal de Warneton est aussi intégré dans le PIC, mais les travaux sont si importants qu’ils seront étalés à la fois sur le PIC 2019-2021 (démolition du bâtiment principal et implantation de deux nouveaux de 600 et 300 m2 ) et celui de 2022-2024 (reconstruction du bâtiment principal sur 2 500 m2 ). Le coût total est estimé à 3 204 836€.
Par contre, la salle des sports de Ploegsteert, dont le coût est estimé à 2 856 522€, a été refusée par le SPW. En vue de subsidiation, le dossier doit être introduit auprès d’Infrasports.
Rappelons qu’à Comines, une nouvelle salle des sports sera construite sur le complexe de la MJC. Le financement sera réalisé par l’intercommunale Ifiga via le programme des billets de trésorerie. Ce lundi, les élus ont approuvé la pose au sol de 344 panneaux photovoltaïques sur les terrains communaux situés entre le canal et les terrains de sport. «Il s’agit d’une demande de l’IEG afin de diminuer les coûts de la piscine, explique Philippe Mouton. Les panneaux vont s’ajouter à la centaine qui se trouve déjà sur le toit de la piscine. Dans un premier temps, il était prévu de les placer sur le toit de la MJC, qui s’est révélé trop fragile. Ils seront donc installés au sol et, quand la salle sera construite, ils seront déplacés sur le toit.»
M-F.Ph. - L'Avenir
Peggy Delbecque (Écolo) montre la différence de volume entre un sac de PMC pressés et non pressés.
Les emballages plastiques sont recyclés
Le prix du sac-poubelle destiné aux PMC passe de 0,125€ à 0,15€. Il s’agit d’une hausse imposée par Fost Plus, qui pratique des prix identiques à travers toute la Belgique.
La conseillère écologiste Peggy Delbecque a fait une démonstration afin de diminuer l’usage de ces sacs. Avec la fibre enseignante qui la caractérise, elle a porté à la comparaison un sac où les PMC avaient été compressés et un autre où ce n’est pas le cas. Toutefois, le meilleur déchet reste celui qui n’est pas créé! Elle a rappelé que, depuis le 1er janvier, presque tous les emballages en plastique peuvent être placés dans les PMC; ce qui va constituer une sérieuse cure d’amaigrissement pour les sacs-poubelle.
Deux sites explicatifs: www.trionsmieux.be et www.ipalle.be
Un subside pour La Source
Les élus ont approuvé à l’unanimité un subside communal annuel de fonctionnement de 10 000€ à l’ASBL «La Source», établie au Bizet. Chantal Bertouille, présidente ff de l’ASBL, a justifié la demande: le centre possède 45 lits, qui ne peuvent être occupés que dans des temps limités. Ensuite, les personnes quittent le centre, mais les difficultés demeurent. L’ASBL suit donc ces familles, environ 40 en permanence; dans un travail qui se fait sur fonds propres. Les 10 000€ permettront l’engagement à mi-temps d’un assistant social.
Un ROI pour la maison de village
Le Règlement d’ordre intérieur de la maison de village de Ten-Brielen «Aux Capellos» a été approuvé à l’unanimité. Sa rédaction a été réalisée à partir de celui qui régit la maison de village de Frasnes-lez-Anvaing, amélioré par un comité de riverains. En synthèse, les salles seront occupées de 8 à 18 h. La première année, en phase de test, aucune location privée ne sera permise.
M-F.Ph. - L'Avenir
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jeudi 2 janvier 2020
Un soutien communal fort à la vie locale
L’ASBL Euro Delta Center perd 90% de ses subsides
vendredi 27 décembre 2019
Maison des solidarités pour l’ex-home?
Le dernier conseil de l’année a duré plus de quatre heures. Si le budget communal a tenu une grande place, bien d’autres sujets ont été abordés.
Retour sur le conseil communal du 9 décembre. En plus des budgets communaux, celui du CPAS a également été présenté par le président Frédéric Hallez. Le budget ordinaire 2020 se clôture à 14 590 639€ et la contribution de la Ville, quasi inchangée depuis des années, s’élève à 2 826 611€.
«Plutôt que de chiffres, j’ai envie de vous parler de réalisations concrètes, a poursuivi le président, mentionnant les travaux qui ont mené et mènent à la rénovation des trois maisons de repos gérées par le CPAS. Un centre de court séjour à Comines et Ploegsteert, de même qu’un centre d’accueil de jour à Ploegsteert, seront disponibles. Les habitants de notre entité qui avaient l’habitude de traverser la frontière linguistique pour trouver ce type de service pourront être satisfaits chez nous.
Au début du second trimestre 2020 ouvrira la résidence services, toujours à Ploegsteert: 20 appartements supervisés seront accessibles au tarif de 820€ par mois. Dix d’entre eux ont une vocation sociale. Une aide au loyer leur sera donc octroyée.»
Restera alors à entamer la réhabilitation de l’ancien home ploegsteertois. «Le bâtiment sera d’abord évalué techniquement afin de pouvoir en envisager l’avenir. En termes de projets, je souhaite que cette bâtisse devienne la Maison des solidarités: permanence sociale, permanence ONE, soutien à la parentalité, bar à soupe, cuisine solidaire, lieu d’accueil pour la petite enfance… sont autant de projets et de partenaires avec qui nous sommes en contact et qui permettront de donner une seconde vie à ce bâtiment emblématique.»
Un chargé de com, bien utile?
À Ten-Brielen, le service d’insertion «La Ferme» verra l’extension de son bâtiment principal et la première récolte du projet «maraîchage-circuit court», pour lequel une maraîchère a été engagée.
Le budget a été adopté à l’unanimité. L’échevin Philippe Mouton a juste déploré que le CPAS vienne d’engager un chargé de communication. «Le poste est en double emploi: la Ville possède déjà des personnes qui se chargent de la communication.» Quant à Didier Soete, il a déploré le manque de synergie entre la Ville et le CPAS. Ce à quoi Frédéric Hallez a répondu que le CPAS ne demandait pas mieux que de collaborer.
Marie-France PHILIPPO - L'Avenir |